Parabole

Parabole Bonjour à vous

12/10/2025

Bon dimanche

"La spiritualité, la connaissance, la force, la joie, la douleur, la solitude, les tourments ... sont des potentiels fru...
12/10/2025

"La spiritualité, la connaissance, la force, la joie, la douleur, la solitude, les tourments ... sont des potentiels frustrants et qui se cachent lorsque vous le vivez comme un refuge. Transformez tous ces atouts en ouverture au monde et partagez, vibrez les, respirez les au grand jour. Tout comme le mineur, C'est tout au fond de nous que l'on trouve, pépite après pépite, l'être que l'on Est vraiment, dans l'amour, la joie, le noir, la sueur, la douleur et la crasse sans que cela ne s'arrête jamais. Et sur notre chemin, des étapes pour nous reposer, des bras pour nous consoler... Des pleurs pour ne pas oublier, des rencontres pour se rappeler... Des rendez-vous avec la vie, des voyages en rêve ou en vrai, des possibles et des {un possible}. N'oubliez pas d'aimer, même si ça fait mal. N'oubliez pas de cultiver l'amour même si le sol est aride.
Ce texte s’adresse à tous ceux qui cherchent à se comprendre, à guérir, ou à aider les autres. Il parle du courage de plonger en soi, là où se cachent nos peurs, nos émotions enfouies, nos blessures et nos forces, pour toucher la lumière, l’amour et la vérité qui nous relient. Ces pépites, ce sont les leçons tirées des deuils qui nous ont brisés, des échecs qui nous ont appris l’humilité, ou des moments de solitude où l’on a y trouvé du sens. Le noir, c’est la peur d’être rejeté, la solitude, la trahison, la douleur d’une perte, ou la honte qu’on a appris à apprivoiser.
Aimer, c’est oser ressentir, même quand la douleur semble trop lourde. C’est accepter ses larmes, ses doutes, et ceux des autres, pour construire des ponts là où il n’y a que des murs. Ce voyage est le nôtre à tous, que vous soyez en quête de vous-mêmes ou que vous accompagniez quelqu’un sur son chemin. Chaque pépite que vous trouverez en vous peut éclairer le chemin d’un autre.

Un aidant au service de .... qui a traversé ses propres « morts symboliques » – deuils, échecs, crises identitaires – peut reconnaître cette blessure chez l’autre et offrir une écoute qui ne cherche pas à « réparer », mais à accompagner pour réveiller le pouvoir d'auto-guérison que nous avons en chacun de nous. C'est une présence authentique soutenue par des mécanismes comme la co-régulation émotionnelle. Lorsqu’un thérapeute acceuille les émotions de l'autre sans jugement, sans conseils qui ne s'appliqueraient sur l'instant qu'à lui-même, et sans donner de leçons, il active des circuits neuronaux qui réduisent le stress (via l’oxytocine et la régulation du système parasympathique). Des phrases comme "lâchez prise " " positivez" ou autres ne veulent rien dire du tout et auront l'effet de court-circuiter ce processus.
Cet aidant aura donc une efficacité limitée et temporaire. Il peut aider dans des contextes superficiels (par exemple, motiver quelqu’un à adopter une habitude saine), mais face à un « cœur en souffrance », ces conseils risquent d’être inefficaces, voire contre-productifs. Sans une exploration de ses propres profondeurs, l'aidant ne peut pas toucher le "coeur en souffrance"
L’absence d’ancrage intérieur rendra cet aidant vulnérable au burnout et à la fatigue et aussi à cause de la non validation de son travail, car il compensera toujours par un effort constant. Devenir efficace et développer ses sens, c'est devoir intégrer ses propres épreuves. Cela transformerait ces phrases qui ne veulent rien dire (lâcher prise, positiver, prendre soin, ...) en paroles vivantes, porteuses de sens." Auteur Soh hãmm ©️

Photo trouvée sur google

On entend souvent une contradiction dans certains discours. Affirmer que passer des heures chez un psy ne sert à rien, c...
12/10/2025

On entend souvent une contradiction dans certains discours. Affirmer que passer des heures chez un psy ne sert à rien, c’est méconnaître la valeur d’une démarche introspective. Consulter un psychologue est une demarche courageuse, qui ne consiste pas à chercher des causes extérieures, mais à explorer ce qui se passe en soi. Ces initiatives, comme la thérapie, sont des étapes concrètes pour avancer. Identifier ce qui ne va pas demande du temps, c’est vrai, mais un accompagnement adapté peut vraiment faire la différence.
Il y a aussi cette croyance bien connue : penser que rechercher l’amour à l’extérieur fait partie d'un besoin « viscéral » impératif. Pourtant, s’accrocher à cette idée est souvent un frein. Ce désir d’amour peut être masqué par une quête illusoire, qui nous éloigne de ce que nous cherchons vraiment. De plus, certains discours adoptent un ton familier, comme si tout le monde suivait le même chemin sans discernement. Cette approche peut sembler simpliste, voire prétendre comprendre les autres mieux qu’eux-mêmes ne se comprennent, au lieu de respecter leur parcours unique.
Enfin, le « marché de l’amour », avec ses promesses séduisantes, est très vendeur. Et s’obstiner à chercher l’amour comme une mission à accomplir n’est pas la bonne voie et cela rend dépendant d'une quête mais c'est une voie d'enseignement qui nous permet de découvrir et d'identifier ce qui est bon pour nous . Souvent, c’est en accueillant ses émotions et en se recentrant sur soi et en ne faisant pas focus sur sa quête que l’amour finit par se révéler naturellement. Soh hãmm ©️

Le pèlerinage intérieur : une danse avec l’inconnuChacun chemine à son pas, dans le murmure du vent ou l’éclat d’un dési...
12/10/2025

Le pèlerinage intérieur : une danse avec l’inconnu
Chacun chemine à son pas, dans le murmure du vent ou l’éclat d’un désir. Mais qu’est-ce qui pousse ces âmes vers les sentiers du développement personnel, vers ces ateliers où l’on promet des réponses ? Un frisson de mal-être, une soif d’aider, une quête de pouvoir, un appel légitime, ou peut-être l’éclat d’un gain espéré ? Toutes ces ombres dansent ensemble, mais les pèlerins qui s’élancent sur ce chemin savent-ils où leurs pas les mènent ?
Ce pèlerinage est une route sinueuse, parsemée d’épines, de leurres et de lueurs. S’y aventurer, c’est porter une responsabilité aussi lourde qu’un rocher de granit, car chaque pas peut bouleverser l’âme. Ouvre ton cœur, murmure une voix, éveille ton œil, et soudain la vie vacille : des liens se dénouent, des murs s’effondrent, des séparations s’écrivent dans le silence. Ces métamorphoses, souvent inattendues, ne sont pas toujours tendres. Pourtant, peut-être sont-elles le prix d’un éveil. Qui sait, pèlerin, ce que tu découvriras au détour du sentier ?

Le médium : une âme sculptée par les tempêtes
Celui qu’on nomme médium, clairvoyant, guérisseur..., celui qui a arpenté ce chemin, ne s’est pas contenté de feuilleter les pages des « cinq blessures » ou du « jeu de la vie ». Il les a portées dans sa chair, gravées par les tempêtes de l’existence. Offre-lui un livre, il esquissera un sourire, car ses leçons ne viennent pas des mots, mais des silences entre les épreuves. Son pèlerinage fut lent, entrecoupé de haltes où l’âme digère, contemple, se reconstruit. Chaque chute, chaque larme fut une étoile ajoutée à sa constellation intérieure.

Les pèlerins : une quête fragile, mais essentielle
Et les pèlerins, ces âmes pressées qui s’élancent, que cherchent-ils dans leur voyage ? Au fond de leur cœur, un éclat qui sommeille, un potentiel qu’ils ignorent ?. Leur pèlerinage, même s’il s’égare dans des mirages, est une danse nécessaire. Éblouis par le rêve d’être au sommet, ils s’imaginent parfois porteurs de pouvoirs qu’ils ne savent pas encore nommer. Mais proclamer une lumière sans en porter le poids est une illusion fragile : le savoir, s’il est mal saisi, glisse entre les doigts comme du sable brûlant. Pourtant, même dans ces détours, il y a un enseignement. Les pèlerins trébuchent, rêvent trop grand, mais apprennent, pas à pas, sur les sentiers de leur quête. Ce qu’ils poursuivent – une couronne, une reconnaissance – peut leur échapper en ricanant dans le néant. Car la compassion, l’empathie, l’amour véritable ne s’achètent pas dans l’éclat d’un atelier. Ils s’éveillent dans l’ombre des épreuves, dans la patience, dans la vérité d’un cœur qui s’ouvre.

un murmure dans le silence
Le développement personnel n’est pas un graal vers la gloire ou une promesse de douceur. C’est un pèlerinage, un chant fragile où chaque note peut briser ou élever. Pour les pèlerins, ce voyage, même s’il vacille dans l’illusion, est une école de l’âme. Et pour ceux qui osent marcher avec sincérité, les leçons les plus profondes naissent dans l’écorce des blessures. Alors, pèlerin, avant de poser le pied sur ce chemin, écoute : es-tu prêt à danser avec l’inconnu, à payer le prix d’un cœur qui s’éveille ?
Auteur : Soh hãmm ©️ copyright

Illustration : "le savoir, s’il est mal saisi, glisse entre les doigts comme du sable brûlant". Soh hãmm ©️

30/09/2025

"J’ai appris que l’amour peut arriver par surprise ou mourir en une nuit.
Que de grands amis peuvent devenir de parfaits inconnus, et qu’au contraire, un inconnu peut devenir un ami pour la vie.
Que le « jamais plus » n’arrive jamais et que » pour toujours » a une fin .
Que celui qui veut, peut et y arrive. Que celui qui prend des risques ne perd jamais rien, et que celui qui ne risque rien ne gagne jamais rien.
Que si on veut voir quelqu’un, il faut aller le chercher, car après c’est trop t**d .
Qu’avoir mal est inévitable, mais que souffrir est en option, et surtout, j’ai appris que nier les choses les plus évidentes ne sert absolument a rien."
Elif Shafak

19/02/2025

Le chat est un animal qui a réussi à domestiquer l’homme.
Ce n’est pas l’homme qui a domestiqué le chat, mais bien l’inverse. Le chat a choisi de vivre avec l’homme, mais à ses propres conditions. C’est un être qui n’a jamais renoncé à sa liberté, ni à sa solitude.

Et pourtant, le chat sait aimer. Il aime avec une passion presque humaine. Il aime avec une intensité presque douloureuse. Le chat aime de tout son corps, de toute son âme. Il aime sans conditions, sans retenue.

Et quand un chat aime, c’est comme si l’univers tout entier s’arrêtait. Comme si le temps suspendait son vol. Comme si la réalité elle-même s’effaçait. Son amour a une pureté presque divine.

Et moi, qui ai été aimé par un chat, je sais que j’ai été aimé véritablement. Aimé sans condition, sans réserve. Aimé avec une passion presque humaine, avec une intensité presque douloureuse.

C’est pourquoi j’aime les chats. J’aime leur indépendance, leur liberté, leur solitude. J’aime leur capacité à aimer sans condition, sans retenue. J’aime leur pureté, leur innocence, leur divinité.

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